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Accompagnement global par son / sa sage-femme

Une présence juste et rassurante

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L’AAD sous-entend souvent un accompagnement global consistant en un suivi de grossesse assuré par une seule et même personne, la sage-femme et, qui assure les consultations prénatales, la préparation à la naissance, l’accouchement et les soins post-partum de la mère et du nouveau-né.

La relation qui se tisse avec la sage-femme est souvent très forte, faite de complicité et de confiance.

Si elle intervient peu, sa seule présence rassure. Tel le chat qui ronronne et observe du coin de l’œil tout ce qui se passe, ou cette « femme sage », discrète mais vigilante, qui tricote dans l’ombre de la pièce, elle représente un pilier, une force tranquille.

Comment trouver un(e) sage-femme pratiquant les AAD ?

Témoignages de femmes

Ce sont certainement les femmes qui parlent le mieux de la sage-femme qui a été à leur côté pendant leur grossesse et accouchement.

Nous avons pu recueillir ces 4 témoignages :

 

  • Perrine nous raconte que sans sa sage-femme, il n’y aurait pas eu d’AAD.

Écoutez :

http://aad-accouchement-domicile.fr/wp-content/uploads/2017/11/Accompagnement-sage-femme-Perrine.mp3

Extraits tirés d’un entretien mené par Amandine Delord dans le cadre d’une enquête menée sur l’AAD, le 15-05-2017 au Pellerin.

 

  • Pour Karine, sa sage-femme fut une aide continue, entre la grossesse, l’accouchement et l’allaitement :

« J’ai eu beaucoup de chance qu’elle soit à moins d’un kilomètre de chez moi. Et ça a collé tout de suite, gros feeling.

Et l’accompagnement super ! Elle m’a massée, il y avait une très belle complicité qui se passait. (…)

Et pour l’accouchement, elle nous a expliqué ce qu’il fallait, serviettes, plastiques… (…)

Et l’après, elle était super disponible, je pouvais l’appeler à 5h du matin, elle me répondait, comme une doula en fait (rires), c’était un véritable réconfort pour moi durant l’allaitement. J’ai tardé avec la montée de lait, mais elle m’a rassurée, « sois tranquille, tu vas y arriver ».

Extraits tirés d’un entretien mené par Amandine Delord dans le cadre d’une enquête menée sur l’AAD, le 26-10-2017, à Petit-mars.

 

  • La juste présence et la justesse dans les interventions, voilà ce qui semble caractériser la sage-femme de Viola :

 » Elle est arrivée vers 16h, elle s’est installée à côté. Elle bouquinait un petit peu.

Puis lorsque j’étais autour de 10 cm, elle a commencé à être vraiment hyper présente, mais elle n’était pas tout le temps autour de moi en train de me toucher, de me faire des câlins, des encouragements, non, elle m’a beaucoup laissé faire et cela m’allait très bien !

A la fin elle me disait « maintenant tu fais ça et ça et ça, tu ne vas pas m’aimer, mais on va le faire », en me dirigeant, et c’était très bien, je sentais que j’avais besoins de ça. Pour les poussées à la fin, elle me disait de ne pas faire de bruits, de ramener toute l’énergie vers le bas… elle n’était pas douce, non, ce n’était pas une doula (rires), c’est plutôt mon amoureux qui a joué la doula. (…)

Je n’ai pas l’impression que la sage-femme ait pris le pouvoir de l’accouchement, j’ai l’impression que mon corps a fait l’accouchement, une énergie incroyable… et lui (le bébé) a fait beaucoup aussi… ».

Extraits tirés d’un entretien mené par Amandine Delord dans le cadre d’une enquête menée sur l’AAD, le 29-06-2017, à Nantes.

 

  • Quant à Georgina, elle retient de cette dame, une grande humilité, une simplicité et une précision dans ses gestes, loin des consignes d’hygiène des hôpitaux surmédicalisés :

« C’était important pour moi qu’il y ait une sage-femme, seule je ne l’aurais pas du tout imaginé. J’ai bien senti que les contractions c’était un travail, et c’était très précieux d’être accompagné pour savoir jusqu’où respirer, comment, à quel moment pousser et à quel moment ne pas pousser, tu vois quand elle disait « arrêtez de pousser » puis « poussez », ça m’aidait énormément.

C’était vraiment une guide, c’était tout à fait bien venu qu’elle intervienne, moi je me laissais complétement porter, j’avais totale confiance, car j’avais conscience que je ne savais pas faire ça toute seule, je ne suis pas une personne qui croit que mon intelligence du corps va m’enseigner ces choses-là, peut être que j’aurais pu… (…)

La présence médicale était totalement absente, il n’y a pas eut une piqûre, il n’y a pas eut une intervention de type médicale, il n’y avait même pas de plat-bassin tu vois ?! Un saladier ! (rires) Il n’y avait rien qui puisse rappeler l’hôpital, c’est très agréable. Et la sage-femme, j’ai apprécié qu’elle arrive comme ça, habillée normalement, avec ses bijoux, elle n’avait pas de gants en plastique, c’est génial c’est comme une amie« .

Extraits tirés d’un entretien mené par Amandine Delord dans le cadre d’une enquête menée sur l’AAD, le 18-07-2017, à Crozon

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